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« I'm not your guardian angel. I'm not here to save you. Hell, I can barely save me »

PopArtOnline est un blog sur toute la musique, le cinéma et les séries que j'aime.

Création : 07/04/2012 à 10:24 Mise à jour : Aujourd'hui à 08:51

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#Posté le mardi 04 avril 2017 12:16

Modifié le vendredi 18 juin 2021 10:57

- Clara Luciani, le 16 mars à Rouen -


Ce troisième et dernier concert de ce début d'année a été un moment intense pour moi, car Clara Luciani est véritablement l'artiste de la scène française actuelle que j'admire le plus. Je rêvais de la voir depuis la découverte de son premier album - Sainte Victoire - et c'est finalement la tournée du second qui m'en a donné l'occasion. Au delà des décors et des tenues très disco avec ses pantalons pattes d'eph et ses paillettes, de se jeux de lumières éblouissants, Clara m'a marqué sur scène par sa sensibilité. On sent une timidité de sa part au début du concert, comme l'impression qu'elle a sûrement du mal parfois à réaliser que tout ceci est vrai - et ça se comprend - mais ensuite, elle prend véritablement son pied, c'est bien elle la reine du disco ce soir - avec l'incroyable reprise de I Feel Love de Donna Summer - et elle arrive à communiqué avec son public entre les chansons et rigole même de son choriste Pierre avec lequel elle interprète Sad & Slow qui ressemble un tantinet à Julien Doré. Pour le plus grand bonheur de son public, elle interprète intégralement l'album Coeur et donne vie de la plus belle à des manières aux rythmes endiablés de Tout le Monde (Sauf toi), Le chanteur et bien sûr le terrible Respire Encore. Elle reprend aussi tout ses anciens tubes, que le public prend plaisir à chanter avec elle en ch½ur : Nue, Ma soeur et bien sûr, l'incontournable La Grenade. Il y a eu aussi quelques moments où elle était seul sur scène, comme pour chanter l'émouvant Dors. Enfin, elle termine son show comme se termine l'album C½ur, par la chanson Au Revoir pour une poignante fin, me laissant tout émue d'avoir vécu cela en vrai et d'avoir vu devant mes yeux la grande et belle Clara, celle qui a déjà écrit tant de textes avec lesquels je me suis identifié et tant de musiques qui m'ont marqué.
Tags : Clara Luciani
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#Posté le lundi 23 mai 2022 08:35

Modifié le lundi 23 mai 2022 08:55

- Julien Doré, le 11 mars à Rouen -


Le second concert de mes trois concerts rouennais du mois de mars dernier a aussi été celui que j'attendais le moins. Le fait est que le dernier album de Julien Doré m'a moins marqué que ses précédents et n'est pas du niveau de ceux de Juliette Armanet ou Clara Luciani. Pourtant, ce concert n'en a pas été moins étonnant. J'avais eu l'occasion de voir l'artiste sur scène en 2018 lors de sa tournée acoustique, et si je l'avais alors trouvé génial, il est quand même vraiment très bon de le voir avec ses musiciens et un décor particulièrement travaillé. Il y avait en effet de superbes jeux de lumières, le costume tout rose de Julien et surtout ce tapis volant - sur lequel le chanteur a vraiment plané - pour lequel Julien Doré s'est amusé et a tourné le truc en autodérision : « J'aurai pas cru quand j'ai fait la nouvelle Star il y a 15 ans que je me retrouverai à chanter sur un tapis volant ». Sans compter sur le piano avec cette impression qu'il rentrait et sortait tout seul de la scène : « Tu peux te reposer petit piano, tu as bien travaillé ». Vous l'aurez compris, c'était un spectacle grandiose et surtout bourré d'humour entre les chansons. Et d'ailleurs, les chansons dans tout ça ? Julien Doré reprend tout ses tubes avec classe et le public chante en ch½ur avec lui, de Paris-Seychelles à La Fièvre en passant par Le Lac ou encore Chou Wasabi, tout y passe. Le plus surprenant pour moi a été de le voir interprété une ancienne chanson moins connu de lui qui m'avait beaucoup touché quand je l'ai découverte : Corbeau blanc. Une longue complainte, battant au rythme de la mélancolie de son interprète. Julien Doré se retire à la fin aussi élégamment qu'il est arrivé : Projeté sur un écran au milieu d'un orchestre de cordes. Un show, que même si j'y allais sans trop de conviction (la faute aussi du fait que j'avais acheté ma place 1 an et demi plus tôt et que de l'eau à couler sous les ponts depuis), s'est avéré être un grand moment pour moi.
Tags : Julien Doré
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#Posté le samedi 21 mai 2022 11:40

Modifié le lundi 23 mai 2022 08:52

Avant-propos: Non, PopArtOnline n'est pas mort car tel un phénix, il renait à chaque fois de ses cendres. Et ça vous à peut-être échappé autant que moi, mais le blog a franchi le cap des 10 ans d'existence le 7 avril dernier. Surmontant vents et marrés, la mort de David Bowie et celle de Prince, les vagues de covid, toutes mes incertitudes sur mon existence et mes doutes sur mon envie de continuer à écrire, PopArtOnline vivra. Alors, je ne vais pas non plus faire de fausses promesses, je ne serais peut-être pas aussi présent que j'ai pu l'être auparavant, car je suis libre comme l'air, mais je pourrais bien poster un article ici de temps en temps, donc soyez aux aguets.

- Juliette Armanet, le 25 février à Rouen -


Premier concert post-covid, ce fût aussi mon premier d'une série effrénée de trois concerts en moins de trois semaines d'intervalle. Ce fût aussi le seul concert dans une petite salle, le 106 à Rouen. Placé le long du quai rive gauche, elle est d'une capacité de 1100 places. Mais parlons du concert : Ce fût une joie immense de voir pour la première fois Juliette Armanet, et aussi de voir vivre sur scène les chansons de l'album Brûler le feu, album qui marqua musicalement un passage assez tragique de ma vie et qui m'eut cependant aider à rebondir. Le dernier jour du disco sous une boule à facette immense et avec Juliette portant une tenue ultra disco argentée, c'est vraiment impressionnant à voir. J'ai aussi beaucoup apprécié que certaines chansons - les morceaux rythmés comme L'indien ou Tu me Play, en particulier - soient rallongés pour faire durée encore plus le plaisir. Les musiciens de la chanteuse sont excellents et forment un groupe très cohérent et efficace pour faire des concerts de Juliette Armanet un moment que tout fan de chansons pop française se doit d'aller voir au moins une fois. J'ai été émue aussi par les ballades piano-voix, surtout Imaginer l'Amour. Enfin, Juliette nous a fait un petit passage par la foule durant la chanson J'te le donne, où elle a prit quelques chanceux dans les bras. Elle a terminé par Sauver ma vie, un titre qui me parle beaucoup depuis la première fois que je l'ai entendu, car c'est une chanson au texte brute de coffrage qui soulève un nouvel espoir et nous dit surtout de ne jamais baisser les bras. Juliette s'accompagne au piano quasiment tout le concert et elle se donne à fond, elle était même en sueur complètement à la fin. C'était un moment intense que j'ai d'ailleurs vécu au premier rang. Les photos sont de qualités moyenne - et encore, elles sont correct car j'était près - mais c'est après ce premier concert que j'ai décidé de changer de téléphone et que j'ai déboursé une fortune dans le dernier iphone, après dix ans de modèles Samsung milieu de gamme. Vous aurez l'occasion de voir les photos prises avec mon nouveau téléphone dans les prochains articles.
Tags : Juliette Armanet
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#Posté le dimanche 08 mai 2022 12:38

Modifié le lundi 23 mai 2022 08:52

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Numéro 1 ex aequo : Hunky Dory (1971)

Précédant de quelques mois la « Ziggymania » et passant relativement inaperçu à sa sortie avant d'être redécouvert par la suite, Hunky Dory est indubitablement l'un les chefs d'½uvres de David Bowie. Ce dernier rend ici hommage à plusieurs de ses idoles: Bob Dylan sur Song for Bob Dylan, Andy Warhol sur le titre du même nom ou encore Lou Reed et le Velvet Underground sur Queen Bitch où tous les fondamentaux du glam de Ziggy sont déjà là. Mais c'est surtout grâce à cet album que l'on se rend compte de l'énorme talent de ce jeune songwriter avec des titres d'une maturité exemplaire tels que Bewlay Brothers où il aborde la schizophrénie de son frère et les resplendissant de beauté Life on Mars? - dont la mélodie est librement et volontaire inspiré de My Way avec des paroles plus « extra-terrestre » où il est question de recherche d'indentité - ou encore Changes où Bowie affirme représenté un vent de changement (« Ooh, look out, you rock 'n' rollers / Pretty soon now you're gonna get older »). Enfin, tout jeune papa, Bowie en profitera également pour faire un clin d'oeil au petit 'Zowie' Duncan Jones sur Kooks. Hunky Dory est l'un des disques les plus personnels du chanteur.

Key tracks : Changes - Life on Mars? - Quicksand - Queen Bitch - Fill Your Heart

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Numéro 1 ex aequo : Aladdin Sane (1973)

Cet album est la suite des aventures de Ziggy Stardust et devait même à l'origine s'intituler « Ziggy goes to America » (Ziggy va en Amérique). David Bowie a finalement choisi le titre de la chanson Aladdin Sane pour le titre de l'album (avec le jeu de mot « A lad insane », « un type fou » en français). L'album se démarque par un son plus rock et plus américain que le précédent. Le ton est plus « dramatique » que jamais comme en témoigne le poignant et somptueux Time où il est question d'apocalypse et de fin du monde sur un ton très drama de cabaret. Ce thème est aussi présent sur Drive-In Saturday où des survivants d'une apocalypse nucléaire ont oublié toute notion de sexe et regarde d'ancien films pour réapprendre à se reproduire. Chaque titre nous fait voyager dans des ambiances très particulières comme le superbe Lady Grinning Soul, entre mélancolie et nostalgie. Cracked Actor et son aspect proto-punk, Aladdin Sane et sa folie furieuse à peine contrôlée (et son solo de piano par Mike Garson totalement unique dans l'histoire de la musique contemporaine) ainsi que, bien entendu, le classique The Jean Genie, un calembour glam-rock sur le nom de Jean Genet, abordant l'homosexualité. L'album comporte aussi une reprise glam de Let's Spend the Night Together des Stones où Bowie se réapproprit complètement le titre. David Bowie devient alors une icône.

Key tracks : Aladdin Sane - Drive in Saturday - Time - The Jean Genie - Lady Grinning Soul

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Numéro 3 : Low (1977)

Premier volet de la très osé « Trilogie berlinoise » de David Bowie avec le producteur Brian Eno, Low a été enregistré en France au Château d'Hérouville, là ou T.Rex, Elton John ou encore Pink Floyd enregistreront quelques uns de leurs classiques. Seul le mixage a été réalisé au studio Hansa à Berlin, légendaire studio dans lequel il pouvait régner une ambiance très spéciale puisqu'on pouvait y observer le mur et les gardes gardant l'accès à l'Est lorsque l'on y travaillait. Très inspiré par le style « Krautrock » défendu par des formations allemandes telles que Kraftwerk, Low (qui a bien failli s'intituler New Music : Night and Day) sera une prise de risque considérable pour David Bowie qui se lance dans des expériences beaucoup plus électroniques. C'est à Brian Eno que l'ont doit les nombreux synthétiseurs de l'album et le côté très avant-gardiste, tandis que Tony Visconti trouve l'idée des boites à rythmes révolutionnaires. La face A est marqué par un mélange de guitares, grosses percussions et synthés qui inspirera en partie le mouvement New Wave. Tandis que toute la face B de l'album est entièrement instrumental et il y règne l'ambiance du Berlin des années 70 aux travers de ch½urs et de nappes de synthés assez troublants.

Key tracks : Breaking Glass - Sound and Vision - Be My Wife - Always Crashing in the Same Car - A New Career In a New Town - Warszawa - Art Decade

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Numéro 4 : The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars (1972)

Chef-d'½uvre parmi les chefs-d'½uvre mais pas nécessaires Le chef-d'½uvre absolu, celui qu'on appelle couramment et plus simplement l'album Ziggy Stardust va marquer tout une génération et déclencher une véritable Bowiemania (ou « Ziggymania ») en Angleterre. L'album s'impose, dès sa sortie, comme l'un des albums piliers du « glam-rock », courant musical et artistique qui avait été lancé un peu plus tôt par l'ami de David Bowie, Marc Bolan et son groupe T.Rex. Mais c'est David Bowie qui va, avec cet album, immortalisé le glam-rock ! Premier album-concept de l'artiste anglais, l'oeuvre est une fiction sur le personnage androgyne et bisexuel Ziggy Stardust, rock star envoyé sur Terre avant l'apocalypse imminente. De l'annonce de cette catastrophe dans Five Years, jusqu'à la mort du personnage dans Rock'n'Roll Suicide, Bowie décrit le parcours et l'ascension de celui-ci en brassant différents styles tels le garage-rock (Suffragette City), le punk-rock (Hang on to Yourself) le heavy-metal (Moonage Daydream), la pop et le jazz (Soul Love) et la soul (Lady Stardust). S'ensuivra une folle tournée, longue et épuisante, où Bowie finira par tuer son personnage avant que celui-ci ne lui fasse trop d'ombre.

Key tracks : Five Years - Moonage Daydream - Starman - Lady Stardust - Hang on to Yourself - Ziggy Stardust

Mes cinq albums préférés de David Bowie

Numéro 5 : Scary Monsters (and Super Creeps) (1980)

Après la trilogie berlinoise, David Bowie commence les années 1980 avec ce qui est considéré par certains comme son dernier grand disque, Scary Monsters (and Super Creeps). Cet album marque un premier pas vers un style plus commercial, en témoigne le single Ashes to Ashes où dans les paroles, Bowie tire un très sur son passé, puisqu'il y parle de Major Tom (le même que dans Space Oddity), un junky qui se drogue et il nous dit à propos de lui : « My mother said to get things done, You'd better not mess with Major Tom » (« Ma mère m'a donné des conseils, il ne faut pas trainer avec Major Tom » ). On retrouve sur l'album le guitariste Robert Fripp du groupe King Crimson (présent sur l'album "Heroes") qui excelle d'une manière parfaite et splendide sur It's No Game (titre en deux parties, qui ouvre et ferme l'album), le terrifiant Scary Monsters and Super Creeps qui parle d'une femme tombant dans la folie, l'excellent Fashion entre punk et funk, Teenage Wildlife ou encore sur la très bonne reprise de Kingdom Come de Tom Verlaine. Pete Townshend, guitariste des Who marque son emprunte sur Because You're Young. A noter enfin que le clip de Ashes to Ashes où Bowie est maquillé et habillé en Pierrot vaut le coup d'½il, d'autant que c'était à l'époque le clip le plus couteux.

Key tracks : Ashes to Ashes - Fashion - Scary Monsters - Because You're Young - Scream Like a Baby - It's No Game
Tags : David Bowie
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#Posté le mercredi 01 janvier 2014 09:54

Modifié le mardi 04 janvier 2022 11:28

Ses archives (229)

  • ven. 14 février 2014
  • Photoshoot de David Bowie déguisé en Pierrot pour l'album Scary Monsters (and Super Creeps), précédé du single Ashes to Ashes. Le single et l'album se sont classés numéro 1 en Angleterre. sam. 05 avril 2014
  • La consécration de David Bowie à Top of the Pops dim. 27 avril 2014
  • jeu. 08 mai 2014
  • lun. 12 mai 2014
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