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6 articles taggés Janet Jackson

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Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partie

Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partie
Janet Jackson en 1987.

Janet Jackson - Control (1986)

Janet prend le control et ne se laisse plus manipuler par son père ou quiconque. C'est ainsi qu'après deux albums banals, Janet va faire La rencontre décisive : celle avec les producteurs Jimmy Jam & Terry Lewis, ex-membres de The Time, groupe associé à Prince. Le son est très pop, précurseur de la new jack swing et tourné vers l'avenir. Janet impose une personnalité enjoué dans les textes et impose le respect des femmes sur Nasty.

Prince - Parade (1986)

Poursuivant ses aventures psychédéliques, Prince tente une fois de plus diverses expérimentations sonores, dont les moments forts sont Kiss et sa guitare funky façon Nile Rodgers et l'entêtant Girls & Boys. Quoique la ballade Under the Cherry Moon n'a pas à rougir de la comparaison. Les arrangements psyché-pop sont assez minimalistes comme sur Do U Lie? mais ne remettent jamais en doute le génie d'un artiste hors du temps.

Etienne Daho - Pop Satori (1986)

Pop Satori est Le symbole de la french pop. Le mélange entre sonorités pop anglosaxonne et textes français n'a tout bonnement jamais été aussi réussi. Boites à rythmes et synthés sont à outrances, mais que c'est bien produit ! Trois tubes intemporels que sont Tombé pour la France, Epaule Tattoo et Duel au Soleil sont présent pour ce qui est considéré comme le premier sommet de la carrière du génie de la pop française.
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Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partieEtienne Daho en 1987.
Madonna - True Blue (1986)

Après le succès énorme de Like a Virgin, il était nécessaire pour Madonna de mettre les petits plats dans les grands et de réitérer ce succès, mais avec un album autrement plus ambitieux. Fort bien arrangés et plus riches en instrument, True Blue cotoie les sonorités latines avec La Isla Bonita, s'approche du rock sur Open Your Heart, mais c'est bien la poignante et intense ballade Live to Tell qui émeut le plus. 

U2 - The Joshua Tree (1987)

Avec The Joshua Tree, U2 sur fait une place sur le toit du monde. Disque intemporel, il commence par trois très grands titres : Where the Streets Have No Name et son introduction magistral où les instruments arrivent un par un ; I Still Haven't Found, titre sur la quête spirituelle et With or Without You, chanson d'amour inouïe. Le reste nous retourne tout autant, de joie comme de tristesses, mais ne peut laisser indifférent.

Prince - Sign "☮" the Times (1987)

Résultat de la période la plus productive de la carrière de Prince, Sign "☮" the Times témoigne de l'ambition démesuré de son auteur. En véritable touche à tout, Prince nous joue ici à peu près de tout : Funk, Pop, Hard-rock, R&B, Jazz... et tout lui réussi. La chanson-titre, qui ouvre l'album, surprend par son côté dépouillé, contre-productif, mais encore plus par ses paroles très engagés sur un monde qui part en vrille.

Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partie
George Michael en 1987.

Michael Jackson - Bad (1987)

Bad, plus fort Thriller ? A chacun d'en juger, mais MJ réussi à sortir encore plus de tubes avec cet album. Si le son est plus pop, encore plus universel, c'est que Michael a décidé encore une fois de frapper fort. Les lignes de basses, les percussions, les riffs de guitares, les slow à faire chavirer, que ça soit Bad, The Way You Make Me Feel, Man in the Mirror, Smooth Criminal, Michael marque encore durablement les esprits avec ce disque.

Depeche Mode - Music for the Masses (1987)

A peine un an après le monumental Black Celebration, le quatuor de l'Essex remettait ça avec un disque dont le titre est contradictoire. Le groupe ose pour la première fois utiliser la guitare, qu'il mêle habilement avec les synthés sur le titre d'ouverture Never Let Me Down Again. Dans cette veine rock, on retient aussi Behind the Wheel et sa rythmique ultra efficace. L'album est parfois déroutant, mais audacieux avant toute chose.

INXS - Kick (1987)

Dans les années 1980, la scène rock est partagé entre la New Wave et le Hard Rock. INXS propose un rock mainstream aux percussions très pop avec des riffs de guitare pourtant bien rock. Un style qui leur ai propre, tout comme la voix sulfureuse de Michael Hutchence sur Need You Tonight et Devil Inside. Sans oublier l'émouvante ballade Never Tears Us Apart. Un album assez feel-good qui marqua tout une génération. 

Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partie
INXS en 1987.
George Michael - Faith (1987)

Wham!, c'était super, ça donnait la pêche, mais avec Faith, George Michael, plus adulte, décide de passer aux choses sérieuses. Et qui dit album solo dit album plus personnel. L'artiste touche à une palette plus variés de genres musicaux, de la Pop au R&B, en passant par la soul et le jazz. Il souffle un vent de liberté sur I Want Your Sex. Enfin, l'artiste montre une grande sensibilité romantique sur le sublime Father Figure.

Madonna - Like a Prayer (1989)
 
Comportant moins de tubes que ses prédécesseurs, Like a Prayer se veut avant tout plus personnel et c'est sa grande force. Car outre la chanson-titre et ses ch½urs gospels, Express Yourself et son message féministe de de liberté ou le jovial Cherish, Madonna se confie pour la première fois sur sa mère dans l'émouvant Promise to Try, juste piano-voix avec quelques violons et nous parle des valeurs de la famille sur Keep It Together.

The Cure - Disintegration (1989)
 
Après des débuts sombres, explorant la Cold-wave et une période plus radiophonique ensuite, les Cure qui avaient trouvé un public large, décide d'expérimenter de nouveaux avec Disintegration. Sûrement leur album le plus abouti. La plupart des morceaux commence par de longues introductions instrumentales. Entre mélancolie et romantisme, Lullaby, Love Song et surtout l'incroyable Fascination Street ponctuent ce voyage.

Mes albums préférés des années 1980 - 2ème partie
The Cure en 1989.

Neneh Cherry - Raw Like Sushi (1989)

Au tournant de la décennie, une jeune chanteuse suédoise sortait un disque d'une modernité et d'une audace à faire pâlir Madonna et Prince. Raw Like Sushi est un melting-pot intercontinental d'influences hip-hop, soul, jazz et pop qui a donné les singles à succès Buffalo Stance, Manchild et Kisses On The Wind. L'ensemble sonne encore tellement frais aujourd'hui que ça n'a pas prit une ride plus de trente ans après.

Janet Jackson - Rhythm Nation 1814 (1989)
 
Disque résolument moderne pour l'époque, RN 1814 possède un son très industriel dans sa vibe New jack swing, alors que les textes engagés en font un album-concept unique. Janet dénonce l'injustice et les inégalités sociales dans les titres Rhythm Nation et State of the World, l'illettrisme sur The Knowledge et sait aussi nous parler d'amour sur Miss You Much et Love Will Never Do. Un des albums qui m'a le plus marqué dans ma vie.

Phil Collins - ... But Seriously (1989)

On termine avec l'album le plus abouti de la carrière de Phil Collins. Délaissant les boites à rythmes de No Jacket Required pour se concentrer sur les percussions et les guitares - dont l'immense solo d'Eric Clapton sur l'intro de I Wish It Would Rain Down - la plupart des chansons de l'album sont socialement et politiquement engagées comme Another Day in Paradise raconte la réalité des sans-abri. Un album qui fait encore référence.

Et aussi...

The Smiths - The Queen is Dead (1986)
Depeche Mode - Black Celebration (1986)
Whitney Houston - Whitney (1987)
The Cure - Kiss Me Kiss Me Kiss Me (1987)
Pet Shop Boys - Actually (1987)
Niagara - Quel enfer ! (1988)
Prince - Lovesexy (1988)
Queen - The Miracle (1989)
Simply Red - A New Flame (1989)
Paul McCartney - Flowers in the Dirt (1989)
Tags : Janet Jackson, Etienne Daho, George Michael, INXS, The Cure
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#Posté le jeudi 08 avril 2021 16:41

Modifié le vendredi 09 avril 2021 12:41

Mes albums préférés des années 1990 - Numéros 8 à 1

Mes albums préférés des années 1990 - Numéros 8 à 1Depeche Mode en 1990.
8. Michael Jackson - Dangerous (1991)

Lui aussi s'est accroché fermement pour rester au top dans les années 1990, Michael Jackson surprend une fois de plus avec Dangerous, quatrième album solo de l'artiste sous Epic Records. Emmené par l'universel Black or White, l'album marque le tournant New jack swing de l'artiste, épaulé par le producteur Teddy Riley. Des tubes en puissances avec aussi In the Closet, Remember the Time, Jam et des ballades où il est question d'espoir et de solidarité sur Heal the World, de fraternité sur Will You Be There et de foi sur Keep the Faith. En guest, le guitariste Slash joue une de ses meilleurs partitions sur Give in to Me. Mention spécial à Who Is It et son beatbox par MJ himself sur une histoire de rupture et de tromperie. Quatorze chansons et soixante-dix-sept minutes d'une ½uvre dense dont la seconde moitié n'est composé que de chefs-d'½uvre.

7. Blur - Parklife (1994)

Avec Oasis, ils sont le deuxième groupe de britpop le plus emblématique. Souvent comparé, tout les opposent cependant. Ils viennent du sud-est de l'Angleterre et ils n'ont pas foutu le bordel à l'école. Si leurs deux premiers albums rencontrent un succès d'estime, le troisième, Parklife va être celui de la révélation. Surfant sur la déferlante Britpop, le groupe produit un album varié où se côtoie une dance-pop teintée de new-wave avec l'entêtant Girls & Boys, du rock où les guitares hurlent sur Trouble in the Message Centre, quasi punk sur Bank Holiday et de l'orchestrale avec The Debt Collector ou la jolie ballade To the End et ses ch½urs en français. Très vite, Parklife devient un des disques les emblématiques de cette période.

6. Depeche Mode - Violator (1990)

Assurément un des meilleurs albums de ce fabuleux groupe de musique pop-électro britannique. Depeche Mode réussit avec ce disque un véritable tour de force. En conservant son identité-propre, le groupe s'oriente vers le rock et des riffs de guitares bien placé ici ou là, comme dans les cultes Enjoy the Silence et surtout Personal Jesus avec lequel le groupe faisait sa première immersion dans le rock et plus précisant dans le blues-rock. Le groupe aborde sur ce disque les relations avec les femmes, la passion, le désir, la séduction, la tromperie. Des thèmes qui font de Violator un titre assez paradoxal. Tout comme le titre de son prédécesseur, Music for the Masses, qui n'était pas franchement un disque adressé à toutes les oreilles.

Mes albums préférés des années 1990 - Numéros 8 à 1
U2 à Berlin pour Achtung Baby.
5. Madonna - Ray of Light (1998)

Délaissé après ses abus de provocations avec Erotica, et après un album Bedtime Stories moins prépondérant, Madonna revient au sommet de son art et met tout le monde d'accord avec Ray of Light. Mère d'une fille depuis peu (elle lui dédit la chanson Little Star), elle nous offre avec le producteur William Orbit un album personnel et poignant, tant pour les paroles que pour la musique. Ray of Light brille de milles ingéniosités avec des sons et des rythmes percutants comme avec le titre éponyme mais aussi Sky Fits Heaven, Candy Perfume Girl, Skin et Frozen, classique instantanée, véritable frisson. Le coaching vocale que la chanteuse a suivi pour la comédie musicale Evita lui permet d'avoir une voix plus mûre et claire. Un album magnifique.

4. U2 - Achtung Baby (1991)

Parmi les groupes ayant survécus aux années 1980, U2 est sans doute le plus emblématique. Le monde change et pour le groupe irlandais, cet album est une question de survie. Enregistré aux studio Hansa à Berlin, là où Bowie est passé quatorze plutôt pour son triptyque européen, Achtung Baby est une claque dès les premières déflagrations de guitares saturés de The Edge sur Zoo Station et la double voix de Bono sur deux octaves différentes bénéficiant d'un étrange traitement. C'est un nouveau U2, rock industriel, qui laisse place aux boites à rythmes sur certains morceaux, avec des riffs plus étranglé. The Fly est un choc, alors que Even Better than the Real Thing mêle là encore deux voix de Bono. Mysterious Ways, lui, montre un U2 plus funky, proche de la dance, tandis que One marque par sa simplicité, et aussi ses multiples lectures. Chanson d'amour inspiré par la rupture du guitariste The Edge ou chanson de réunification après la chute du mur de Berlin, qu'importe, elle touche tout le monde.

Mes albums préférés des années 1990 - Numéros 8 à 1
Janet Jackson sur le tournage du clip Together Again.
3. Janet Jackson - The Velvet Rope (1997)

Adepte des album-concepts avec Rhythm Nation 1814 et après le très positif album janet. Janet Jackson sort un album plus sombre en 1997 où il est question de confiance et d'estime de soit. Dès le premier titre, Velvet Rope, elle nous invite à rentrer dans sa bulle, son intimité. La chanteuse prône la liberté et notamment celle de l'orientation sexuelle sur Free Xone, rend un vibrant hommage à un ami décédé du Sida sur l'incontournable et entraînant Together Again, aborde la violence domestique dans What About, le sadomasochisme et les fantasmes sur Rope Burn. Tout au long des seize titres de l'album, Janet explore la pop, la house, le funk avec Go Deep, le R&B avec I Get Lonely, le trip-hop sur You et n'en finit pas de nous émouvoir avec ses ballades tels que Every Time ou encore la reprise de Rod Stewart Tonight's the Night, mettant en valeur une voix unique dans la pop et très douce. Un album d'une richesse inouïe et varié qui s'écoute encore fort bien aujourd'hui.

2. Oasis - (What's the Story) Morning Glory? (1995)

Après un premier disque qui avait déjà placé la barre très haut, la bande de Manchester emmené par les frères Gallagher remettait le couvert dès l'année suivante avec (What's the Story) Morning Glory? Certains préfèrent le premier album, d'autre celui-ci. Alors qu'est-ce qui fait que je préfère celui-là plus encore ? La présence de véritable hymnes à l'insouciance de cette époque tels que Wonderwall et Don't Look Back in Anger et toujours des titres très rock et mélodieux qui font hurler les guitares avec Roll with It et Some Might Say où le groupe témoigne être dépassé par les préjugés et tout ce que les gens peuvent dire. Il  est aussi un peu plus varié avec une influence aux Beatles plus marquée, particulièrement sur She's Electric, histoire d'une attirance pour une fille excentrique et difficile à cerner. Et enfin, le final monumental de sept minutes sur Champagne Supernova. Oasis est à ce moment là le meilleur groupe au monde. La suite sera cependant moins glorieuse.

Mes albums préférés des années 1990 - Numéros 8 à 1
Radiohead
1. Radiohead - OK Computer (1997)

Si jusque là, Radiohead était ce petit groupe qui avait fait un tube génial en 1993 avec Creep, ils n'arrivaient pas à se défaire de cette image de one-hit-wonder. Jusqu'en 1997 et ce troisième album que l'ont peut aisément considéré comme un chef-d'oeuvre. Le groupe est à un tournant de sa carrière, il joue toujours dans le rock, mais se diversifie, expérimente avec les synthétiseurs et va loin dans les sonorités planantes avec des titres comme Subterranean Homesick Alien qui semble être la bande-son idéal d'un film de science-fiction. La sublime ballade Exit Music inspiré du roman de Shakespeare, Roméo & Juliette, se fait d'abord toute douce avec sa guitare acoustique avant de monter en puissance avec une redoutable basse. Alors que Lucky nous transporte littéralement. Thom Yorke s'est inspiré ici de sa peur de l'avion dans cette chanson où il parle d'un homme survivant à un accident d'avion. Le morceau est magistrale pour ces envolées d'accords de guitares que l'ont peut comparé à Pink Floyd. Radiohead innove avec des rythmes inhabituels, décalés et incroyables avec Airbag qui ouvre l'album de la plus incroyable des façons ou encore Karma Police et sa progression très Beatles où il est question d'une déshumanisation par la surveillance d'une police du karma. Alors que la douceur de No Surprises et ses sons de Glockenspiel rappelle Sunday Morning du Velvet Underground. Radiohead devient un groupe incontournable de la scène rock alternatif avec cet album tourné vers des thèmes propres au XXIème siècle tels que le consumérisme, l'aliénation sociale, l'isolement émotionnel. Le titre est d'ailleurs inspiré par la peur d'un futur terrifiant où l'homme serait dépendant des machines et des ordinateurs. Radiohead avait bel et bien une longueur d'avance.
Tags : Radiohead, U2, Janet Jackson, Madonna, Michael Jackson, Blur, Oasis
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#Posté le jeudi 12 novembre 2020 06:23

Modifié le samedi 21 novembre 2020 13:27

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

En ces temps de confinement, je me suis senti prit d'un élan d'inspiration qui m'a poussé à écrire un article un peu nostalgique sur ma folle ascension de découverte musicale depuis mes années collège - lycée. J'étais un garçon timide et très introverti à cette époque là. Je n'avais pas beaucoup d'amis. Mais aujourd'hui, je n'ai plus de regrets sur ces années là car depuis, de l'eau à couler sous les ponts, j'ai des amis tous formidables et j'ai gardé le meilleur de ces années : La musique que j'ai découvert. Une passion pour la musique qui ne s'est jamais démenti. Voici donc chronologiquement les grandes découvertes musicales de ma vie de mélomane.

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

Vers 2003 : Michael Jackson - Thriller (1982)
 
Comment ne pas commencer cet article par Thriller ? Tous les superlatifs ne suffiraient pas pour exprimer ce que représente cet album oh combien mythique. Des tubes intemporels, des lignes de basses reconnaissables entre toutes, des refrains imparables et un époustouflant sens de l'innovation. Thriller marque la musique pop plus qu'aucun autre album ne l'a fait avant lui, mélangeant funk avec Wanna Be Startin' Something, P.Y.T. et le terrifiant Thriller, Rhythm and blues avec Billie Jean, rock avec Beat It, ballade pop avec Human Nature. musique noire ou blanche, Michael Jackson a n'a pas choisi. Il embrasse différents styles et impose le sien avec un disque aussi bien universel qu'intemporel. Je devais avoir dix ans quand j'ai entendu cet album pour la première fois, mais treize ou quatorze ans pour en comprendre réellement l'impact. Cependant, quand j'avais cet âge là, il n'y avait pas encore internet à la maison (mais ça ne tarderait pas) et jamais me serait venu l'idée d'aller écouter d'autres albums de Michael Jackson. Ma curiosité, encore limité, attendait d'être éveillé.

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

Mars 2009 : Michael Jackson - Bad (1987)

Et sans le vouloir, en mars 2009, alors que j'ai quinze ans, je vais découvrir l'album Bad par une étrange coïncidence. Mon père me demande de le lui télécharger avec les logiciels que j'utilisais alors pour télécharger les derniers tubes de Lady Gaga et Rihanna. Et forcément, en lui téléchargeant l'album, j'en profite pour l'écouter et là, comment vous dire ? WHOUAH ! C'était comme si que j'avais découvert la huitième merveille du temps. Bad m'est apparu encore plus fort et m'a donné encore plus le vertige que Thriller. Bad et Smooth Criminal par leur ligne de basse et leurs percussions terrible m'ont marqué à jamais, tout comme I Just Can't Stop Loving You, ballade sublime qui fiche les larmes aux yeux et ce Man in the Mirror au message tellement fort. Sans oublier The Way You Make Me Feel. Les clips marquent l'esprit également. Michael y apparaît plus efféminé, certes, mais surtout plus viril avec son costume noir plein de ceintures dans Bad, tourné dans une station de métro de New York qui serait rasé peu de temps après le tournage. Le film Moonwalker vaut la peine également d'être vu car il montre un Michael Jackson simple et en même temps très pro, avec le passage culte sur Smooth Criminal et le fameux lean, cette chorégraphie défiant les lois de la gravité.

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

Fin 2009 : Prince - Purple Rain (1984)

J'ai écouté Michael Jackson presque tous les jours durant les mois qui ont suivi sa disparition. Puis, cette découverte pour le King of Pop a nourri en moi le début d'une interminable curiosité pour la musique en générale. Après, Michael, j'ai écouté un peu les Jacksons / Jackson 5, j'ai survolé rapidement la carrière solo de ses frères et s½urs et je me suis arrêté longuement sur la carrière de Janet, mais ça, j'y reviendrai dans le paragraphe suivant. Et je me suis intéressé à celui que l'ont disait être le rival de Michael à l'époque, à savoir Prince. J'ai commencé par écouté un best of, puis Purple Rain, passage obligé et surtout meilleur entrée en matière pour découvrir Prince. Car il s'agit d'un album relativement accessible et il reflète quand même très bien toute la palette musicale de l'artiste. Prince s'éloigne de la funk de ses débuts pour la pop. Il est alors au sommet, avec ce magnifique Purple Rain, ce terrible When Doves Cry, incroyable hit sans ligne de basse, ou encore I Would Die 4 U, ambitieux mélange de funk et de synthés. Il faut aussi voir le film Purple Rain pour bien cerner les paroles des chansons, qui sont étroitement lié aux péripéties du film. C'est en voyant le film qu'on ressent toute l'intensité de The Beautiful Ones qui est ma chanson préféré de Prince.

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

Début 2010 : Janet Jackson - Janet Jackson's Rhythm Nation 1814 (1989)

C'est au début de la décennie suivante que j'ai découvert Janet Jackson dont je ne connaissais auparavant que le tube planétaire Together Again - chanson qui passait régulièrement en radio dans mon enfance - et Scream, son duo avec son frère, que j'ai connu en découvrant précédemment Michael, comme vous l'aurez compris. Au début que j'était sur la plate-forme, il y avait un super blog fan de Janet qui donnait envie de connaitre plus cette chanteuse, mais c'est avant tout ma curiosité encore une fois qui a primé. Je suis tombé sur youtube sur Nasty, excellente chanson pop sur l'émancipation féminine. Et c'est tout naturellement que le premier album de Janet que j'ai écouté fût Control qui m'a tout de suite parût comme une référence en terme d'album pop eighties. Puis, j'ai découvert chronologiquement la discographie de Janet Jackson. Et dans la suite des choses, c'est donc Rhythm Nation, album particulièrement ambitieux que j'ai écouté. Ambitieux car pionnier dans les sonorités New Jack Swing, dance-pop et industrial. Il est aussi très fort pour ce qui est des paroles et des thèmes abordés. Janet dénonce l'injustice et les inégalités sociales et raciales dans les titres Rhythm Nation et State of the World, elle dénonce aussi l'illettrisme sur The Knowledge ou encore la consommation de drogue sur Black Cat. Enfin, elle parle aussi tout simplement d'amour sur Love Will Never Do (Without You) et joue les aguicheuses sur le dansant Miss You Much. Les clips sont tous travaillé à la perfection et la danse militaire sur Rhythm Nation reste instantanément gravé en mémoire.

Les albums qui ont marqué ma vie (première partie)

Fin 2010 : Madonna - True Blue (1986) et Like a Prayer (1989)

C'est encore une fois par mon père que j'ai découvert l'album True Blue de Madonna parce qu'un jour, il me l'a fait écouté en vinyle 33 tours. Il y avait des chansons que je connaissais évidemment déjà, mais avec un super son, j'avais l'impression de redécouvrir ces chansons et puis bien sûr, j'en ai découvert d'autres que j'ai adoré (Where's the Party) et j'ai aimé la cohérence de l'ensemble. C'est un album que j'apprécie encore beaucoup aujourd'hui grâce à sa musicalité, ses tubes La Isla Bonita, Open Your Heart, Papa Don't Preach, l'émotion que renvoie Live to Tell, les blessures qui y sont évoqué dans les paroles. Et bien que ça ne soit pas le meilleur album de Madonna, il m'a ouvert les portes vers ses autres albums et m'a donné la curiosité d'aller découvrir les chef-d'½uvres que sont Ray of Light, Music et Like a Prayer. Et c'est ce dernier qui, je croit, est mon album préféré de la chanteuse. Il m'apparaît comme l'album le plus personnel de la reine de la pop. Il y a bien sûr le tube fédérateur Like a Prayer, entre confession et message d'amour, le percutant Express Yourself et le jovial Cherish mais il y a aussi des titres plus personnels comme Til Death to Us Part où elle aborde sa relation avec Sean Penn et le très beau Promise to Try dans lequel elle se rappelle au souvenir de sa mère. Madonna est ici au sommet. C'est un album avec des tubes mais on sent clairement en l'écoutant le désir de marquer les esprits avec un album riche, tant pour la musique que pour les paroles. Madonna est aussi au sommet sur scène avec, l'année suivante, le Blond Ambition Tour, qui ressort souvent comme la tournée préféré des fans.

En voyant les dates cités entre parenthèses, on se rend à l'évidence que les années 1980 sont une décennie qui m'a profondément marqué musicalement. Décennie que je n'ai paradoxalement pas vécu. Il y a d'ailleurs aujourd'hui beaucoup de jeunes qui aiment et dansent sur ces années-là et le phénomène n'est pas prêt de s'estomper. Les musiques de cette époque respire le bonheur et l'envie de s'éclater. Michael Jackson, Prince, Janet Jackson et Madonna y sont pour beaucoup si c'est une décennie qui me passionne autant. Plus tard, j'ai été prit de passion pour tout ce qui touche à la new-wave et des groupes tels que Depeche Mode et Eurythmics. C'est aussi par les années 1980 que j'ai découvert le rock. Et c'est par le rock que j'ai découvert aussi d'excellents albums des années 1990 et vous devriez normalement voir cela dans la suite de cet article si je me décide à la rédiger. Quand à vous, quels sont les albums qui vous ont marqué le plus ?
Tags : Michael Jackson, Prince, Janet Jackson, Madonna
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#Posté le dimanche 19 avril 2020 12:29

Modifié le dimanche 26 avril 2020 07:36


L'album Unbreakable de Janet Jackson
★★★★½
 
Janet Jackson est enfin de retour dans les bacs, sept ans après l'album Discipline. Et elle n'est pas la seule à faire son come-back, puisque le duo de producteurs Jimmy Jam & Terry Lewis a qui l'ont doit la production de tous ses albums de 1986 à 2006 sont de retour aux commandes. Précédé d'une excellente mise en bouche avec No Sleeep et promut sur scène depuis le 31 août avec le Unbrekable World Tour, l'album Unbreakable est parût ce 2 octobre. Alors, Janet Jackson, artiste féminine incontournable à la carrière exceptionnelle, a t-elle réussi son grand retour en studio ?
 
Sept ans d'absence, c'est considérable et c'est pour cela que Janet débute l'album avec un titre dans lequel elle décrit tout son amour pour ceux qui n'ont jamais cessé de la soutenir : ses fans. Commençant par les paroles « Side 1 » (début d'album) et des sonorités rappelant l'album The Velvet Rope, Unbreakable laisse place ensuite à un rhythme pop accrocheur et moderne, un peu néo 90's. Janet y décrit sa relation avec ses fans comme un sentiment « unbreakable » (incassable). Plus urbain et s'approchant du hip-hop, Burnitup! est assez convaincant musicalement, mais moins que le titre précédent. La partie rap de Missy Elliott était dispensable et les paroles ne racontent pas grand chose, mais c'est quand même un bon morceau sympathique. Dammn Baby est assez déroutant, mais fini par rester en tête. Et force est de constater que Janet ne tourne pas en rond et nous offre ici une brochette de titres bien différents. Le titre suivant est plus ambitieux : The Great Forever est engagée dans les paroles où Janet dénonce les médias. Elle dit que ce qu'ils racontent lui importe peu, qu'elle veut juste vivre sa vie et que cela ne change pas ce qu'elle est, ni ce qu'elle aime. La boîte à rythme est terriblement efficace, ainsi que les notes électroniques. On poursuit en rythme avec l'explosif Shoulda Know Better qui se révèle être un des meilleurs titres de l'album. Le texte, engagé contre la précarité et l'égalité pour la parole dans le monde, fait irrémédiablement penser à l'album Rhythm Nation (« Together make this world a better place »). Janet fait ensuite place à un peu de douceur avec After You All, une très belle et reposante ballade piano voix. Broken Hearts Heal commence comme un midtempo subtil avant de prendre du rythme et devenir dansant. La chanteuse rend un brillant hommage à son frère défunt dans les paroles (« Life feels so empty I miss you much »). C'est de la très bonne pop, Janet place la barre très haut, et ce n'est pas avec l'excellent et rythmé Night - inspiré par son amour avec son mari - que le niveau redescend. L'artiste dédie No Sleeep a son mari. Un beau midtempo R&B reposant. Le rappeur J. Cole y pose parfaitement son flow sur la fin. Janet touche au R&B et la Soul avec Dream Maker / Euphoria où elle souhaite créer un endroit parfait sans jalousie, ni haine (« Wish I could create a perfect place, Without jealousy, abuse or hate »), nous invitant à l'aider à réaliser ce rêve. On croirait presque la voix de Michael enfant dans le ch½ur enfantin en second plan, sans doute un clin d'½il. Le titre commence par des crépitements de vinyle qui signifient que nous entamons la seconde moitié de l'album, la « Side 2 ». 2 B Loved est un midtempo R&B dans lequel Janet dit que tout le monde mérite l'amour, et qu'elle est là pour nous. Un joli thème qui rappelle Lonely de Rhythm Nation. L'entêtant Take Me Away est génial et est fait pour s'écouter en boucle ! Le titre contient un solo de guitare qui s'intègre parfaitement et là encore, Janet est inspiré par son mari qu'elle qualifie comme son sauveur, qui lui a offert le paradis. L'interlude Promise - dont les sonorités rappelles un certains The Body That Loves You - marque le début de la fin de l'album. A partir de là, Unbreakable entre dans la pure tradition des albums de Janet qui se termine par une séries de ballades. Première d'entre elles, Lesson Learned et sa guitare acoustique, nous envoutent, notamment sur le magnifique refrain. Les douleurs du passés sont évoqués, mais l'amour est là pour oublié. Sur Black Eagle, dont le rythme change légèrement à la moitié, les claquements de doigts donnent le tempo. C'est une belle chanson qui traite de l'amitié. Dans Well Traveled, Janet se retourne vers son parcours, un long voyage dont elle ne sait pas quand il se terminera, mais qui lui a tant apporté. C'est sur Gon' B Alright, ode à la joie, soft rock, que Janet nous laisse, avant une interlude pour remercier ses fans, une nouvelle fois, et de balancer avec humour « Jimmy, you're not recording that, are you? » en s'adressant à l'un de ses deux producteurs de toujours, Jimmy Jam.

Retour plus que gagnant pour Miss Jackson qui livre ici un album qui dépasse les espérances. La qualité est largement à la hauteur de ce que l'ont attendait d'un come-back après sept années d'absence dans les bacs, tant musicalement où Janet sort de la grande Pop et du R&B digne de ce qu'on lui connaissait par le passé. C'est bien produit, bien calibré. Le retour du duo de producteurs Jimmy Jam & Terry Lewis à fait des étincelles. Pour ce qui est des textes, c'est tantôt engagé comme à l'époque de Rhythm Nation, tantôt plus léger, sur l'amour, la paix et plein de bonne chose bien écrites. Enfin, il est important de souligner que peu d'artistes réussissent aujourd'hui l'exploit d'un album de 64 minutes contenant 17 titres qui soit aussi bien et homogène, sans baisse de régime, avec toujours autant d'efficacité tout au long. Unbreakable est un excellent album que l'ont a envie d'écouter en boucle tellement c'est bon.

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#Posté le lundi 05 octobre 2015 07:40

Modifié le samedi 03 septembre 2016 13:19


This is a story about control : my control

Alors que Janet Jackson s'apprête à faire son grand retour avec un nouvel album et une nouvelle tournée, faisons un petit bond de 30 ans en arrière pour se remémorer l'excellent album Control, sortit en 1986 et qui lui permit alors d'accéder à la gloire.

Après deux albums passés presque inaperçu et un mariage raté, Janet Jackson décide de prendre le contrôle de sa carrière après avoir prit celui de sa vie d'adulte. Elle vire son père qui était son manager, ce qui lui permet de pouvoir faire ses propres choix. Intéressé par les sonorités de Mineapolis, son nouveau manager, John McClain, lui propose de collaborer avec les producteurs Jimmy Jam et Terry Lewis, membres du groupe The Time, découvert et produit par Prince. Le duo complice l'invite à leur studio à Minneapolis dans le Minnesota pour faire connaissance. Janet arrive seule accompagnée d'une amie, mais avec personne pour penser à sa place. L'entente entre Jam & Lewis et Janet se fait aussitôt. L'enregistrement de l'album dure deux mois. Le trio passa la première semaine sans rien enregistré, juste à parler pour se connaitre. Jam et Lewis souhaitent pouvoir connaitre suffisamment Janet pour savoir ce qu'elle doit chanter. Puis, ils lui écrivirent des textes qu'elle retoucha ensuite pour les améliorer et les rendre plus personnel encore. Le résultat fût un album très personnel et aux sonorités Pop avant-gardistes, préfigurant ce qu'on appellera plus tard le New Jack Swing. Control marqua aussi le début d'une longue collaboration entre Janet Jackson et Jimmy Jam & Terry Lewis qui ne cessera que vingt ans plus tard.


No, my first name ain't baby It's Janet, Ms. Jackson if you're Nasty !

L'album s'ouvre sur le titre Control. Une introduction ambitieuse sur des nappes de synthés (« This is the story about control, my control... ») laisse place ensuite à un beat pop très novateur et à la production soignée. Janet explique qu'elle veut désormais prendre le contrôle de sa vie, ne plus écouter son père, avoir le contrôle de ce qu'elle fait et de ce qu'elle dit. Le premier couplet fait référence à ses parents et le second à son mariage raté avec James DeBarge pour lequel Janet dit avoir été naïve. Nasty est un titre que j'adore pour son rythme très accroche, gentiment aguicheur dans les paroles, une excellente chanson à propos du respect que doivent avoir les hommes envers les femmes. Si les hommes manquent de respect, alors ce sont des « Nasty boys ». Toujours dans un style pop-dance, What Have You Done for Me Lately relate de la frustration d'une femme avec son partenaire. Janet exprime ainsi ses sentiments au sujet de son divorce avec Debarge. Bien que cette chanson ait été la dernière enregistrée pour l'album, Jimmy Jam et Terry Lewis ont voulu en faire le premier single car elle représentait bien la nouvelle maturité et la nouvelle perspective de la vie de Janet qui n'a plus envie de se laisser faire. You Can Be Mine est un titre simple, dans le même style que le morceau précédent, mais tout aussi efficace. Dans les paroles, Janet est à la recherche d'un homme intelligent pour lui plaire (« Always thinkin' man with a mind »). On poursuit avec l'excellent The Pleasure Principle. C'est le seule morceau qui n'est pas produit par Jam & Lewis, mais par Monte Moir, le claviériste du groupe The Time. Les paroles sont une déclaration d'indépendance des femmes sur l'amour. When I Think of You est un titre pop nostalgique. He Doesn't Know I'm Alive est la première chanson qui a été enregistré pour l'album. Elle est aussi peut-être la plus simple. Dans les paroles, Janet raconte qu'elle est amoureuse d'un garçon et qu'elle n'ose pas allez le voir et lui, il ne sait pas qu'elle existe, d'où le titre. Let's Wait Awhile est une chanson d'amour qui m'émeut à chaque écoute par sa beauté. Elle aborde l'abstinence sexuelle et le doute à propos de vouloir une relation sexuelle. Janet dit dans les paroles que l'ont peut prendre son temps avant de le faire. La chanson a été utilisée pour la lutte contre le Sida à l'époque. Plus lent que le morceau précédent, Funny How Time Flies (When You're Having Fun) permet de conclure en toute subtilité cet album. La chanson rappelle par sa tonalité The Lady in My Life de l'album Thriller de Michael Jackson.


Parût le 4 février 1986, Control a connu un succès retentissant. Ses ventes sont estimées à ce jour à plus de 14 millions d'exemplaires. L'album contient sept singles dont quatre sont rentrés dans le top 5 du Billboard. Parmi ceux-là, When I Think of You permit à Janet de décrocher son premier n°1 aux US. A ce moment-là, Janet commence à être aussi influente que Madonna et Whitney Houston. Un succès mérité pour un album qui de mon avis a marqué la pop grâce à des sonorités précurseurs, des productions soignés et des paroles qui ajoutent un côté très personnel. Il a été le premier album de Janet que j'ai écouté, le premier que j'ai acheté et a beaucoup contribué quant à mon admiration pour cette immense artiste. L'écoute des albums suivant n'a fait que renforcé ma passion pour Janet, d'autant plus qu'à partir du suivant, Janet atteint des sommets. Je termine en ajoutant que Control est considéré comme un des meilleurs albums des années 1980. Il est classé dans la liste des 100 meilleurs albums des années 1980 du magazine Rolling Stone.
Tags : Janet Jackson
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#Posté le samedi 20 juin 2015 12:59

Modifié le samedi 25 avril 2020 07:11

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